Il m’a été donné d’entrevoir Qu’il ne faut pas sacrifier son identité Au prix de l’appartenance. Qu’on ne peut être roi qu’en Soi. Que dans l’absolu, la terre n’a pas de frontière. Que la vie n’est pas le but mais le moyen. Alors je me méfie de la suffisance...
Lire la suiteLobo djab avadra, la conjugaison du présent ( par Kily Charlot )
L’œil en écrou sur une sellette d’un régime sanguinaire sa main dégouline de syllabe à l’éternité d’un poème qui plaide dans sa longueur profonde contre la tyrannie des désœuvrés au panthéon d’un pouvoir hors des normes à l’heure où les caméléons s’abreuvent...
Lire la suite« Sur les Ailes de Pégase » de Raynaldo Pierre Louis, présentation (par Jean Erian Samson)
Ce sentiment que ressent l’auteur d’abandonner le quotidien revient surtout par ses vécus nostalgiques et ses incapacités de contourner les méfaits du monde réel et irréel liés sans doute à sa sensibilité et à sa bonne fois. Il ne choisit pas tout simplement...
Lire la suiteDe la télékinésie du verbe à Kaléidoscope de couleurs fauves (par Anderson Dovilas)
Je dédie le vent aux nuages Aux colonnes de nuées qui transitent Est-il possible d’être un aventurier sans aventure, ou d’être poète sans risquer le devenir des mots. Et si la poésie exigerait de vivre par le choc de nos entendements à savoir poétiser...
Lire la suiteLes minotaures (de Charlemagne FORTUN)
Les prédateurs des patriotes et des poches sont là. Costumés de leurs crimes innocents, Ils se dissimulent derrière leur face apparente, Pour qu’à leur bord on s’accroche, Mais leur bateau se noie dans une mer de sang. Les jeunes sont leurs proies les...
Lire la suiteL’immortalité de Denise BERNHARDT (Critique de Raynaldo Pierre Louis)
« Les dieux eux-mêmes meurent/mais les plus beaux vers demeurent plus fort que les airains», dit Théophile de Viau. En effet, comment pourriez-vous croire, qu’une poésie peut-être mortelle ? Mais non! Ce serait donc de l’amnésie, subversion folle, véritable...
Lire la suitePAYS DE COCAGNE EN OTAGE
L’astre transite aux Enfers-oubliettes Et l’azur coupe la trajectoire. L’oiseau de nuit étiolé Dévore les poumons de l’orage Illusion palpable de l’aube Une branche d’aube dans les nébuleuses Vision qui se love loin loin loin de la virtualité Onirisme...
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